Avertissement

Dystopia : zero est une oeuvre littéraire de fiction. Bien sûr, l'auteur puise dans la réalité contemporaine pour extrapoler certaines situations mais aucune de celles décrites sur dystopia : zero ou des personnages mis en scène n'existent ailleurs que dans son esprit. Tout rapprochement avec des gens ou des évènements passés ou présents réels seront donc tout à fait fortuits, de malheureuses coïncidences, la faute à pas de chance, un jour mon prince viendra, etc...


Dystopie : Définition issue de l'article sur Wikipedia.

Une dystopie — ou contre-utopie — est un récit de fiction peignant une société imaginaire, organisée de telle façon qu'elle empêche ses membres d'atteindre le bonheur, et contre l'avènement de laquelle l'auteur entend mettre en garde le lecteur. La dystopie s'oppose à l'utopie : au lieu de présenter un monde parfait, la dystopie propose le pire qui soit. La différence entre dystopie et utopie tient moins au contenu (car après examen, nombre d'utopies positives peuvent se révéler effrayantes) qu'à la forme littéraire et à l'intention de son auteur.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dystopie


Cette oeuvre est publiée sous licence D2U -fork de la licence art libre.

Vous pouvez copier, diffuser et modifier cette oeuvre sous conditions :

Pour bénéficier de la licence D2U il suffit d'accompagner votre oeuvre de cette mention :

[quelques lignes pour indiquer le nom de l'oeuvre et donner une idée éventuellement de ce que c'est.]
[quelques lignes pour indiquer s'il y a lieu, une description de l'oeuvre modifiée et le nom de l'auteur.]
Copyright © [la date] [nom de l'auteur] (si c'est le cas, indiquez les noms des auteurs précédents)
Copyleft : cette oeuvre est libre, vous pouvez la redistribuer et/ou la modifier selon les termes de la licence D2U.

Source : Licence D2U


Légal : Les écrits diffusés sur le site dystopia : zero sont publié par Patrick Ricwald et sont couverts par le droit d'auteur français. Dans un objectif de partage, d'émulation et de diffusion libre et légale, Patrick Rickwald a ouvert certains droits pour permettre aux lecteurs/contributeurs de rester dans la légalité en ces temps de gastro hadopite galopante.